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11/01/2019

Blockchain une page du Figaro pour commencer à comprendre.

 

11/01/2019

"Alors, bonne ou mauvaise année pour les levées de fonds ? La question devient presque rhétorique, tant l’écosystème startup est habitué aux records. Et 2018 n’a pas failli à la tradition, avec un nouveau record à la clé. Selon le décompte que nous tenons toutes les semaines dans notre MaddyMoney, les startups françaises ont levé un total de 3,203 milliards d’euros l’année dernière, explosant le précédent record de 2,3 milliards établi en 2017. En revanche, et c’est là que réside la véritable surprise, le nombre d’opérations a, lui… baissé. L’écosystème s’est contenté de 657 tours de table (dont 612 dont le montant a été dévoilé), contre 689 l’an dernier. "

écrit Géraldine Russel dans Maddyness en ce début d'année.

Commentaire AMBAPACA : nous avions bien l'impression que la suppression de l'ISF n'avait pas d'influence sur la motivation des vrais passionnés de l'acccompagnement des entreprises innovantes. Elle aura sans doute permis de se débarrasser des opportunistes, pas vraiment investis dans la démarche de BA.

11/01/2019

" Avec une présence qui ne se dément pas - 376 startups et 420 entreprises tout type confondu - l'Hexagone démontre que le CES demeure toujours une valeur sûre en terme de business.

Un business qui n'est d'ailleurs pas à l'identique pour toutes. S'il semblerait naturel de venir au Nevada pour "tester" le marché américain, beaucoup viennent aussi pour tester le marché tout court ou l'appétence des investisseurs. "

écrit Laurence Bottero dans La Tribune du 8/01/2019.

Lire l'article

28/08/2018

La finance est entrée au cœur du cycle de vie des startup en France, capitaux abondants, aides de l'État, structures d'accueil nombreuses; oui le contexte de la création et du développement de nouvelles entreprises innovantes a changé, et parait devoir durer.

Alors gonflette ? sans aucun doute, mais pas d'effet en cascade à redouter si l'on sélectionne bien ses cibles d'investissements, et si on établit un dialogue constructif pour aider les jeunes pousses dans leurs premières années. Les BA apportent là une vrai valeur ajoutée.

Lire sur La Tribune

 

26/05/2018

Lancée le 27 novembre 2013 par Fleur Pellerin, alors ministre déléguée en charge des PME, de l'Innovation et de l'Économie numérique, la Mission French Tech se déploie en métropoles, hubs et programmes publics et privés au succès variable.

La Tribune du 25 mai 2018 fait le point.

Lire aussi "L'évolution de la French Tech vers davantage d'autonomie est inévitable" (Terra Nova).

01/02/2018

Habitué du CES de Las Vegas Olivier Ezraty expert dans le suivi des innovations et des entreprises innovantes, nous livre ses constats, ses impressions, et ses conseils.

Oui, il y a beaucoup de start up françaises au CES, mais certaines n'ont rien à y faire. Elles devraient se regrouper par domaines.

La "bataille" que se livrent les régions françaises avec chacune ses poulains, est un frein à la lisibilité des avancées présentées, et des regroupements.

Les grandes entreprises, et les grands équipementiers français découvrent enfin l'importance d'être présents pour être visible, pour voir, et pour engager des partenariats.

La voiture de demain se prépare dans les tendances du CES, électrique, partagée, intelligente non seulement par l'autonomie, le "sans conducteur", mais aussi par le cocoonage des utilisateurs.

Lire l'article de La Tribune

 

26/01/2018

2017 moins de levées, mais plus importantes, des entreprises plus matûres, 1 à 2 ans, et 3 à 5 ans.

lire sur La Tribune et écouter sur BFM Business

24/01/2018

On peut être privé et d'intérêt collectif ! déclare olivier Millet le Président de France Invest, ex AFIC.

L'association change de nom pour affirmer son attachement à la France et son désir de donner une autre image des investisseurs en capital dans les entreprises.

" Le private equity français a levé plus de 80 milliards d'euros en dix ans, plus de 15 milliards l'an dernier. Notre dynamique devrait nous conduire à dépasser les 20 milliards d'ici à 2020 et ainsi devancer le capital-risque britannique.

Notre empreinte économique, c'est plus de 200 milliards d'euros de chiffre d'affaires, l'équivalent de 20% du CAC 40 ! C'est aussi 1,4 million d'emplois, plus de 8% de l'emploi privé français, ce n'est pas anecdotique. Les 300 fonds membres de « France Invest » emploient entre 4.000 et 5.000 personnes en direct et font travailler tout un écosystème de conseils, de banques, d'avocats à chaque transaction." 

Lire l'intégralité sur La Tribune.

24/01/2018

Mounir Mahjoubi commence un tour de France des start-ups de 3 mois. Il va enquêter sur les difficultés rencontrées par les start-ups en activité, et sur l'adaptation de l'écosystème aux besoins de la création et du développement d'entreprises.

Sa première étape l'a conduit à recevoir les Fintechs, ces jeunes pousses qui bousculent la banque d'investissement, de prêt, et l'assurance.

Quelques formules relevées dans la publication de La Tribune que vous êtes invités à lire, les questions abordées débordent le cadre des Fintechs, comme la problématique des sorties :

les organismes d'agrément banques et assurances : " des maisons de retraite pour banquiers ou assureurs, "

En France, on ne lutte pas vraiment contre la fraude, on fait juste de la conformité " pour illustrer le vécu des obligations imposées aux entreprises."

" Nous sommes une forêt de bonzaïs, alors qu'il faudrait une forêt de chênes ! "

" Les startups sont le Botox des grands groupes !  "

Lire l'article de La Tribune

 
11/01/2018

La Tribune publie le 11/01 une interview de Xavier Dalloz, expert en stratégie digitale, qui trace la transformation du CES depuis 2000. Il donne son sentiment sur ce que sera notre relation avec notre environnement de vie à travers les objets/médias technologiques.

Un éclairage utile pour les créateurs et les investisseurs.

Lire sur La Tribune

 

 
06/04/2017

Aprés les plateformes, fintech et autres applications digitales, les investisseurs et les grosses entreprises regardent maintenant vers les innovations de rupture à base de sciences et de technologies, des domaines certes déjà exploitées mais dont le temps de gestation est plus long.

Cela est bien connu dans le domaine de la médecine et de la pharmacie, ou ce temps est de l'ordre de 10 ans minimum. 

Dans celui des techno sciences, le temps de production de prototypes, de "pilotes", la recherche de partenaires dans les domaines d'applications sont également longs, ce qui péjore le temps d'eclosion des innovations.

Sans parler de la versatilité du contexte économiques avec des "aides" qui peuvent se révéler de véritables poisons. Cf photovoltaique, biomasse, etc...

A lire sur la Tribune du 6 avril 2016