Un article de La Tribune du 7 avril passe en revue les différentes possibilités.
Voici quelques éléments utiles pour considérer le potentiel des filières et aborder des projets dans ce domaine.
Un article de La Tribune du 7 avril passe en revue les différentes possibilités.
Voici quelques éléments utiles pour considérer le potentiel des filières et aborder des projets dans ce domaine.
Un article très clair sur l'innovation, et son financement en France.
62 dispositifs recensés, on aimerait avoir la liste.
A retenir, l'innovation, ce n'est pas que de la R&D, tout ce qui peut accroitre la part de marché en fait partie.
le CIR, les subventions, c'est bien, mais attention à ces quasi fonds propres qui sont des prêts, même à taux réduit, et remboursement différé, il faudra les rembourser, et le chemin peut être long avant de mettre un pied significatif sur le marché et de produire des revenus (CA et marge) suffisants.
En explorant un voie de diversification pour rentabiliser ses fermes de serveurs, Amazon a créé un nouveau métier.
Lire l'article de Challenges sur la conférence de Werner Vogels au CES de Las Vegas.
Selon le baromètre de valorisation des PME françaises non cotées publié par Absoluce, un groupement national d'audit et de conseil, une PME non cotée affiche une valeur de ses capitaux propres autour de 9,1 fois son résultat net. C'est bien moins qu'une société cotée.
Aprés les plateformes, fintech et autres applications digitales, les investisseurs et les grosses entreprises regardent maintenant vers les innovations de rupture à base de sciences et de technologies, des domaines certes déjà exploitées mais dont le temps de gestation est plus long.
Cela est bien connu dans le domaine de la médecine et de la pharmacie, ou ce temps est de l'ordre de 10 ans minimum.
Dans celui des techno sciences, le temps de production de prototypes, de "pilotes", la recherche de partenaires dans les domaines d'applications sont également longs, ce qui péjore le temps d'eclosion des innovations.
Sans parler de la versatilité du contexte économiques avec des "aides" qui peuvent se révéler de véritables poisons. Cf photovoltaique, biomasse, etc...
A lire sur la Tribune du 6 avril 2016
2017 moins de levées, mais plus importantes, des entreprises plus matûres, 1 à 2 ans, et 3 à 5 ans.
Les témoignages de plusieurs observateurs de la vie économique et sociale en Provence-Alpes-Cote d'Azur.
La Tribune du 7 février 2018 titre "L'industrie, les défis et l'innovation".
L'activité industrielles de la Région se porte bien, et est variée, industries, aéronautique, espace, parfums, réparation navale, numérique, etc.
Mais comment redresser l'image de ces industries présentées à tort comme moins attratives que les emplois purement tertiaires.
Réhabiliter l'enseignement technique, mais pour cela il faut convaincre le corps professoral pour qui hors des filières généraliste point de salut, les parents et les étudiants. Comment en faisant encore plus venir les entreprises dans les établissements d'enseignement, techniques, oui, mais pourquoi pas les autres aussi ? en accentuant les échanges, stages, coopérations, partenariats, visites, contributions, etc.
" Avec une présence qui ne se dément pas - 376 startups et 420 entreprises tout type confondu - l'Hexagone démontre que le CES demeure toujours une valeur sûre en terme de business.
Un business qui n'est d'ailleurs pas à l'identique pour toutes. S'il semblerait naturel de venir au Nevada pour "tester" le marché américain, beaucoup viennent aussi pour tester le marché tout court ou l'appétence des investisseurs. "
écrit Laurence Bottero dans La Tribune du 8/01/2019.
"Alors, bonne ou mauvaise année pour les levées de fonds ? La question devient presque rhétorique, tant l’écosystème startup est habitué aux records. Et 2018 n’a pas failli à la tradition, avec un nouveau record à la clé. Selon le décompte que nous tenons toutes les semaines dans notre MaddyMoney, les startups françaises ont levé un total de 3,203 milliards d’euros l’année dernière, explosant le précédent record de 2,3 milliards établi en 2017. En revanche, et c’est là que réside la véritable surprise, le nombre d’opérations a, lui… baissé. L’écosystème s’est contenté de 657 tours de table (dont 612 dont le montant a été dévoilé), contre 689 l’an dernier. "
écrit Géraldine Russel dans Maddyness en ce début d'année.
Commentaire AMBAPACA : nous avions bien l'impression que la suppression de l'ISF n'avait pas d'influence sur la motivation des vrais passionnés de l'acccompagnement des entreprises innovantes. Elle aura sans doute permis de se débarrasser des opportunistes, pas vraiment investis dans la démarche de BA.